N’essayez pas de sauver le monde ou de faire quelque chose de grandiose.
Aménagez plutôt une clairière dans la forêt de votre vie, et attendez patiemment que votre propre musique sonne au creux de vos mains,
Reconnaissez-la, accueillez-la.
C’est à ce moment seulement que vous saurez comment vous offrir à ce monde qui mérite tant d’être secouru.
— Martha Postlewaite
Version française : Michèle Le Clech, Nelly Delambily Les traductions sont mises à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution
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« Aménagez plutôt une clairière dans la forêt de votre vie,
attendez patiemment que votre propre musique sonne au creux de vos mains… »
Voilà une proposition originale qui me rappelle aussitôt le rêve d’un homme qui, dans un assez vaste jardin intérieur, clos de murs et pourvu d’une eau jaillissant en fontaine d’un puits présent au centre du jardin (Hortus conclusus), frappait l’un contre l’autre les deux morceaux d’une certaine pierre tenus dans ses deux mains et en tirait ainsi une musique qui attirait les oiseaux.
La coïncidence de sens entre le texte cité et le rêve de cet homme me laisse…rêveur…
Amezeg
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magnifique !