Honnêtement, au fond de moi, je ne pensais pas que mes trois enfants « innocents » et moi étions sur le point d’être définitivement jetés dehors. Mais le rôle de l’épouse blessée est tentant. Cela est d’autant plus vrai pour quelqu’un qui a grandi aux Etats-Unis, où nous nous agenouillons à la simple mention de Maman et de l’Apple Pie. Alors, naturellement, je suis allée chez Mademoiselle Wolff pleurnicher sur mes malheurs.
Elle a écouté attentivement et avec bienveillance la liste interminable de mes difficultés, mais quand j’ai finalement repris mon souffle, elle a suggéré quelque chose qui me surprend encore.