Très tôt, Marie-Louise a eu une conscience aiguë de la crise de l’environnement, disant même :
Dans notre monde moderne, la nature n’est plus le grand danger pour l’homme, c’est maintenant l’homme lui-même qui est le grand danger, c’est-à-dire l’état de son âme.
Extrait, propos de Marie-Louise von Franz recueillis par Rolande Biès
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