Le Féminin Solaire dans la mythologie
Etude comparée de La Courtise d’Etaine(Irlande) et de La Caverne Céleste (Japon)
Avant – propos d’Anne Bernard Kearney
Postface de Florence Quentin
De nombreuses déesses, comme Isis, Ishtar ou Sol, et de nombreuses héroïnes comme Iseult, Grainné, Guenièvre, contiennent la trace d’un féminin solaire.
Elles ne sont pas les reflets lunaires, mais de flamboyantes figures capables d’enchanter le monde.
Dans ces mythes, le féminin apparaît souverain, créateur, et le masculin, chevalier de la lune. Leurs épopées sont autant d’initiations et de métamorphoses qui les amènent à la réalisation de leur essence divine — bien avant les inversions que nous connaissons.
A travers l’analyse de La Courtise d’Etaine, figure majeure de la mythologie irlandaise ancienne, et de la déesse Amaterasu-ô-mi-kami dans le mythe japonais de La Caverne Céleste, cetouvrage nous permet de suivre pas à pas ces Soleils-Femmes dans leur confrontation avec l’Animus Lune, leurs métamorphoses et les parallèles que nous pouvons faire avec les méandres de notre âme.
Les vieilles déesses porteuses de lumière, représentent la possibilité de renouer avec la nature de la psyché telle qu’elle se mouvait dans les temps les plus anciens mais que, dans leur éternelle réalité, nous pouvons aujourd’hui faire émerger comme un soleil de Vie et de Joie.
Parution : janvier 2016