Elisabeth Horowitz : Quelle coïncidence !

Carnets de rêvesEdition 1 Comment

Présentation de l'éditeur

Les coïncidences ? Tout le monde aime les concours de circonstances surprenants et les faits extraordinaires, même les statisticiens et autres amateurs de probabilités.

Dans cet ouvrage, l’auteur retrace l’historique des recherches faites à partir de 1900. Plusieurs tentatives d’explication ayant émergé à cette date, en Europe, puis sur le continent américain.

Dans la première partie du siècle (1900-1950), toutes les coïncidences sont observées et analysées en tant que des phénomènes purement extérieurs, notamment suite aux travaux de Paul Kammerer concernant la loi des séries (1919). Avec l’apparition de la théorie de Carl Jung relative à la synchronicité (1952), naît l’hypothèse suivante : celles-ci pourraient être la projection et la matérialisation de contenus de la psyché (reflétés par l’environnement). Les deux visions sont en réalité complémentaires car à l’expérience, toutes les simultanéités, occurrences et coïncidences ne sauraient être rangées de manière définitive dans l’une ou l’autre de ces catégories.

Outre un panorama des successives approches théoriques, l’essentiel de l’ouvrage expose les mécanismes à l’oeuvre dans la formation des coïncidences et la signification de celles-ci.

À travers de nombreux exemple, le livre se veut pratique et concret: Quel sens donner aux coïncidences du quotidien ? Comme lire sur une voiture publicitaire le nom d’une connaissance qui, au même instant, vous appelle au téléphone ou encore obtenir les lettres formant votre patronyme lors d’une partie de scrabble… Toutes les réponses à ces questions et à de nombreuses autres, sont à découvrir dans ce livre.

— Elisabeth Horowitz, Quelle coïncidence ! Apprenez à décoder : hasards, surprises et synchronicités, Dervy Livres, 2017.

Comments 1

  1. Le patronyme de l’auteure, Elisabeth Horowitz, semble l’avoir prédisposée à l’étude des phénomènes de synchronicité : La racine grecque hōra/horo (heure, temps) y est associée au substantif allemand witz (blague, plaisanterie, esprit, histoire drôle). Un patronyme qui évoquerait donc les facéties, les clins d’œil, les « bonnes blagues » de la sychronicité.
    Mais tout cela n’est sans doute que pur et simple hasard, et futile élucubration de ma part… 🙂

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