A l’image de ces amoureux trop pressants, trop collants, trop épris, qui attendent de nous des choses que l’on ne peut pas, ou que l’on ne veut plus offrir, les anciennes méthodes, héritées du patriarcat, nous poussent encore à les épouser et à agir dans le seul sens connu. Mais tout au fond de nous, inconditionnellement, notre amour va vers un masculin qui cultive et protège les semences d’une sagesse millénaire, gardien et servant des valeurs anciennes. Cet esprit de la terre, à l’image de la nature, reste sauvage, indompté. Si nous avons à le respecter, à nous laisser enseigner, nous pouvons, de notre côté, l’inviter à dévoiler un peu de sa passion, à témoigner de ces mystérieuses épousailles du ciel et de la terre et à partager les fruits de son labeur.
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