« Ou bien/Ou bien », c’est ce que souffle l’esprit régnant.
Au fond de nous existe cependant un mécanisme capable de faire tenir ensemble des choses que l’on tenait pour séparées, ou que l’on pensait devoir amputer pour partie. Un ajustement est parfois nécessaire et l’impression qui se dégage alors est celle d’un tout, c’est un sentiment d’unité, le sentiment que chacun de nos desseins a sa place, non celle que le moi pensait devoir accorder, mais celle qui leur est réservée.
Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire.